12 février, 20H: débat du Front de Gauche à Grenoble
Vendredi 12 février 2010 à 20 heures
Maison du Tourisme – 14, rue de la République (arrêt tram à proximité)
GRENOBLE
- POUR RÉSISTER,
- PROPOSER DES PRIORITÉS SOCIALES,
- POUR L’EMPLOI, LES SERVICES PUBLICS,
- LE RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT
- POUR OUVRIR L’AVENIR
- DE LA TRANSFORMATION SOCIALE
- Elisa MARTIN, tête de liste régionale Ensemble (Parti de Gauche)
- François AUGUSTE, tête de liste départementale (PCF)
- Françoise RAYNAUD (altermondialiste, militante associative)
- Armand CREUS (Gauche Unitaire)
- Isabelle MÉTRAL (Pour une Alternative à Gauche)
- Jacques FAURE (Parti Communiste des Ouvriers de France)
ENSEMBLE
POUR DES RÉGIONS À GAUCHE
Les élections régionales approchent, et avec elles, une chance formidable de faire entendre les idées d’une autre gauche.
C’est réunis au sein de la liste « Ensemble pour des régions à gauche, solidaires, écologistes et citoyennes », dans la continuité du Front de Gauche créé pour les élections européennes, que le
Parti Communiste Français, le Parti de Gauche, Gauche Unitaire, PAG 38, le PCOF ainsi que des personnalités du monde syndical et associatif offriront en Isère la possibilité de faire bouger le
curseur à gauche dans la région Rhône-Alpes.
Le rassemblement dans la diversité caractérise notre liste. Des militant-e-s venant d’horizons divers ont le même désir : construire une société plus juste, préservant la dignité de l’être humain
et lui offrant des conditions de vie et de travail décentes.
C’est-à-dire tout le contraire de ce que nous proposent Nicolas Sarkozy, la droite et le MEDEF. Car, hormis les grands patrons, les banquiers et autres capitalistes de tout
poil, qui peut se réjouir :
- Des délocalisations d’entreprises avec leur cortège de licenciements et le chômage à la clé?
- De la disparition des maternités de proximité ?
- De la liquidation annoncée de dessertes ferroviaires ?
- De la suppression constante de postes dans les hôpitaux, les écoles et pratiquement toutes les administrations ?
- De la casse systématique de nos services publics ?
- De la remise en cause de la retraite à 60 ans ?
- De la disparition de la taxe professionnelle entraînant l’asphyxie des communes et des régions ?
…Et tout cela au nom de la libre concurrence et de la rentabilité que le capitalisme veut imposer à l’ensemble des peuples de la planète…
La crise sociale et environnementale dans laquelle nous ont plongés le capitalisme et sa logique productiviste montrent que plus rien ne peut continuer comme avant.
La question écologique ne peut être traitée sans sa dimension sociale. Une politique de gauche doit avoir pour objet le bien-être de toutes et de tous. Cela suppose s’opposer à la marchandisation
généralisée – que l’Europe et l’OMC veulent imposer – qui conduit exclusivement à la recherche absolue du plus grand profit au mépris du progrès social et humain.