Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Michel Barrionuevo -   Sassenage

actualites

9 Octobre 2018 à 10H, manifestation départ Alsace Lorraine Grenoble

25 Septembre 2018, 12:23pm

Publié par Barrionuevo

Communiqué commun des organisations syndicales de salariés, d’étudiants et de lycéens dans l'Isère: CGT, FO, Solidaires, FSU, UNEF et UNL

Le 9 octobre, ensemble à la conquête d’un autre avenir !
 
Nos salaires, pensions de retraite et minima sociaux stagnent et les dividendes versés aux actionnaires, multipliés par 5 en 30 ans, flambent !
En une décennie, les 10 plus riches fortunes françaises ont vu leur patrimoine quadrupler alors qu’il faut 6 générations à une famille pauvre pour atteindre le revenu moyen.
Les annonces gouvernementales et les contre-réformes successives ne font qu’amplifier le creusement de ces inégalités : une large majorité de la population juge injuste et inefficace la politique du gouvernement au service exclusif des intérêts patronaux.


La journée de mobilisation et de grève interprofessionnelle du 9 octobre à l’appel de la CGT, FO, Solidaires, UNEF et UNL est le moment pour toutes et tous, salarié-e-s, retraité-e-s, privé-e-s d’emplois, lycéen-ne-s et étudiant-e-s d’exprimer le refus de cette politique détruisant brique par brique notre modèle social.
C’est aussi le moment de transformer les attentes en une expression forte des revendications, du lieu de travail à la rue.
 
Dans chaque entreprise, dans chaque administration, sur les lieux d’études, dans les lieux de vie, ensemble le 9 octobre, il est grand temps de nous faire entendre pour que le progrès social soit au rendez-vous !

Il est urgent de revendiquer :
- l’augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux pour en finir avec la précarité,
- la réalisation concrète de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes,
- un service public de proximité pour toutes et tous qui mette fin aux inégalités territoriales et sociales,
- l’arrêt des réformes régressives visant la casse des droits collectifs et les mécanismes de solidarité. (conventions collectives et statuts, assurances maladie et chômage, retraite)
- le droit à la retraite à taux plein pour tous les salariés, dès l’âge de 60 ans et en deçà pour les travaux pénibles,
- l’égalité d’accès à l’éducation et à la formation pour l’insertion des jeunes dans la vie active et la fin d’une logique de sélection aveugle du plus jeune âge jusqu’à l’université via Parcoursup,
- une vraie politique d’investissement ciblée notamment sur les enjeux environnementaux et assurant l’avenir des générations futures.
 

Pour Grenoble, la manifestation du 9 Octobre 2018 partira de l'Avenue Alsace-Lorraine (Place de la Gare) à 10H00

Pour Roussillon, de la Place de la République à 10H00

Voir les commentaires

Fête du Travailleur Alpin: 29-30 juin et 1er juillet, Parc de la Poya à Fontaine

26 Juin 2018, 19:11pm

Publié par Barrionuevo

Disons-le  :  la  fête  du  TA  est  unique et c'est le week-end à venir, avec le beau temps annoncé. 

Un  festival  accessible au plus grand nombre, avec une entrée dont nous conservons  le  prix  au  plus  bas,  au regard  de  la  programmation :  pas  moins de vingt-et-un concerts et spectacles en trois jours.
Mais plus encore, une grande fête populaire. 

Une  fête  où  l’on  échange politique, dans le débat « Turquie, Syrie, Irak : comprendre et agir pour la paix » le Vendredi 29 juin 2018, nous serons honoré de la présence de Pascal Torre, qui a subit l’arrestation arbitraire en Turquie de la délégation du PCF, dont il était membre le vendredi 29 juin, de Maryvonne Mathéoud qui a participé en tant qu'observatrice au scrutin.

Nous aurons également la présence de Marie-Christine Vergiat, députée européenne. Vendredi, toujours, Benoit Hamon rencontrera les militant·e·s communistes au fil des stands de la fête. Un temps d'échanges aura lieu lieu au stand de la fédération communiste de l'Isère, de 19h45 à 20h30.

Christophe Ferrari, président de Grenoble Alpes métropole et Yan Mongaburu, président du SMTC et adjoint au maire de Grenoble, participeront samedi 30 juin à un débat sur les réponses des formations de gauche face à l'austérité. André Chassaigne président du groupe communiste à l'Assemblée nationale, Cécile Cukierman, présidente du groupe communiste au conseil régional et Ian Brossat, adjoint à la mairie de Paris et chef de file du PCF pour les élections européennes, participeront également à la fête du Travailleur Alpin.

Des débats également le dimanche sur  le  logement  et  le  droit  aux  vacances  dimanche... sur le bilan de mi-mandat des élu-e-s communistes, gauche unie et solidaire du département.  
A la fête du TA, on partage la soif d’un monde meilleur  ;  où  l’injustice  sociale  n’étoufferait  pas  le  bonheur.
Et puis une fête conçue, préparée, montée, animée par des militants communistes, des bénévoles militants de la fête qui se retrouvent au sein de l’association des Amis du TA : la chaleur des sourires, au long cours de la quarantaine de stands au parc de la Poya, ça ne se décrit pas ça se vit.

Des concerts, des rencontres.
Une programmation sans équivalent dans la région : Kinétic, les  Hurlements  d’Léo, Massilia  Sound  System, sur la grande scène; Running Tree et Seum Déro sur l'espace détente, le Vendredi 29 juin 2018.
Le Samedi 30 juin 2018, sur la grande scène: Odlatsa, Touré  Kunda, Marcus Gad; Sur la scène du peuple: IO, The P-Paul; sur l'espace détente: La quête du Râle, RFFR
Le dimanche 1er juillet 2018: Vide grenier le matin, l'après-midi sur l'espace détente: les Mécaniques aléatoires; sur la scène du peuple: Le petit K L'SON; sur la chapiteau: Cuit sans sauce

Si pendant ces 3 jours, vous rêvez de manger de la friture de joëls; venez nous rendre visite au stand de la section PCF de Fontaine rive gauche du Drac, je serai en pleine action devant les friteuses.

Plus de précisions sur le site de la fête et dans le Travailleur Alpin Spécial.

Voir les commentaires

Manifestation des retraités Jeudi 14 juin 2018 15H, F. Poulat à Grenoble

31 Mai 2018, 10:58am

Publié par Barrionuevo

M. Macron et son gouvernement continuent,

les retraitées et les retraités aussi !

Journée nationale de manifestations décentralisées le jeudi 14 juin 2018.

Les organisations de retraité-e-s du groupe des 9 (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR-FP, LSR, Ensemble & Solidaires-UNRPA) se sont réunies le 11 avril 2018 pour décider des suites à donner aux mobilisations engagées par elles :
- le 28 septembre 2017 (80 000 manifestants)
- le 15 mars 2018 (plus de 160 manifestations et plus de 200 000 manifestants).


Unanimement, elles ont constaté que la colère manifestée par les personnes retraitées le 15 mars était le résultat d’une accumulation d’attaques menées à leur encontre par les gouvernements depuis le printemps 2014 :

  • gel des pensions,
  • création ou augmentation de taxes,
  • suppression de dispositions fiscales spécifiques, etc….

Depuis son installation à la présidence de la République, M. Macron n’a cessé d’ignorer les revendications des personnes retraitées, de les caricaturer comme des « riches » et des « nantis », le tout se poursuivant par une augmentation de 25 % de la CSG qui ampute très fortement le pouvoir d’achat de la majorité des retraités depuis le 1er janvier 2018.

L’énorme succès des manifestations a incité le premier ministre à effectuer un tout petit geste, en exonérant d’augmentation de la CSG 0,6 % des retraités… en 2019. Ce premier recul reste bien trop limité pour calmer les personnes retraitées en colère.

Les 9 organisations ont décidé d’accentuer la pression sur le gouvernement et sur les parlementaires qui ont notamment voté la loi de Finances 2018 et la loi de Financement de la Sécurité Sociale 2018.

 

Dès maintenant, est proposée à la signature une pétition exigeant qu’une loi de finances rectificative soit prise annulant la hausse de la CSG pour tous, mettant fin au gel des pensions et décidant de la revalorisation de toutes les pensions.

Depuis des mois, les députés de la majorité parlementaire veulent nous expliquer leurs réformes. A notre tour nous allons leur faire un peu de pédagogie pour qu’ils apprennent ce qu’est la vraie vie des retraités.

 

Le jeudi 14 juin sera une nouvelle journée nationale de manifestations décentralisées dans tous les départements, au plus près des retraités.

 

Le fait que d’autres mobilisations sociales et syndicales se développent dans le pays est une raison supplémentaire de maintenir une pression spécifique de toutes et tous les retraités.

En effet, le gouvernement multiplie ses « réformes » qui sont autant d’attaques contre certaines catégories sociales.

Mais en multipliant les cadeaux fiscaux et sociaux aux plus riches :

  • laxisme à l’égard de la grande fraude,
  • baisse de l’impôt sur les sociétés à 25 %,
  • plafonnement de l’imposition des dividendes à 30 %,
  • suppression de l’impôt sur la fortune pour les titulaires de portefeuilles boursiers, etc…

il accentue les déficits publics et il maintient la dette, lesquels sont ensuite mis en avant pour expliquer sa politique d’austérité à l’égard du plus grand nombre s’accompagnant notamment d’une réduction des crédits alloués aux dépenses sociales, de solidarité et de financement des services publics (hôpitaux, EHPAD, etc.), impactant directement les retraités.

 

Les propos tenus le 12 et le 15 avril à la télévision par le Président de la République confirment qu’il ne veut toujours pas prendre en compte la colère des retraités. Il nous dit qu’il ne prend pas les retraités
«pour un portefeuille», peut-être, mais il les prend bien pour un porte-monnaie … dans lequel il tape pour aller grossir les portefeuilles d’une minorité privilégiée

 

Pour signer la pétition en ligne

 

http://www.retraitesencolere.fr/

à Grenoble, jeudi 14 juin 2018

Manifestation, 15h00,

rue Félix Poulat

(Tables de signature de la pétition dès 14h)

Voir les commentaires

Marée Populaire 26 mai 2018 manifestation ensemble 10H Gare de Grenoble

19 Mai 2018, 01:01am

Publié par Barrionuevo

Un constat s’impose, Emmanuel Macron, son gouvernement et le Medef sont décidés à imposer coûte que coûte une restructuration en profondeur de la société française :

· politique d’austérité, destruction des droits des salarié.es,

· introduction de la sélection à l’entrée de l’université,

· casse des services publics, aggravation du sort des sans emplois,

· réorganisation aggravant les inégalités en matière d’accès à la justice,

· réforme fiscale favorable aux plus riches,

· loi répressive contre les migrant.es,

· priorité donnée au secret des affaires contre le droit à l’information,

· introduction de l’état d’urgence dans le droit commun, répression des mouvements sociaux et des jeunes des quartiers populaires,

· utilisation de l'égalité femmes-hommes comme simple outil de communication, sans moyens financiers, alors que les femmes sont les premières concernées par les régressions sociales… sans oublier une politique militariste au niveau international.

La multiplication des mesures prises avec brutalité sur tous les fronts a un objectif, celui de créer un effet de sidération et espérer ainsi empêcher toute riposte. Le patronat profite de la situation pour multiplier les restructurations et rester sourd aux revendications du monde du travail.

En s’en prenant aux personnels à statut, en particulier aux cheminot.es, Emmanuel Macron espère, s’il l’emporte, casser tout esprit de résistance.

Ce coup de force peut échouer, car les mobilisations se multiplient dans le pays, chacune avec sa spécificité : journée nationale d’action, grèves, occupation d’universités, manifestations…

Il appartient évidemment aux organisations syndicales de décider, avec les personnels concernés, de leurs formes d’action. Chacune d’entre elles a, a priori, des ressorts différents, mais au-delà de tel ou tel aspect, ce dont il est question concerne la nature même de la société dans laquelle nous voulons vivre.

Voulons-nous vivre dans une société où les droits sociaux seraient réduits à néant, où les services publics et la sécurité sociale auraient disparu ? Où l’inégalité de traitement des territoires serait la règle, où l’accès à l’université serait de plus en plus réduit, où les lanceuses et lanceurs d’alerte et journalistes seraient bâillonnés ? Où les défis écologiques seraient soumis aux intérêts de la finance, où le logement, les HLM et les locataires seraient marchandises, où la lutte contre les discriminations se réduit à des discours ?

Ou, au contraire, voulons-nous une société plus juste, plus solidaire, plus démocratique, plus égalitaire avec un meilleur partage des richesses ? Tel est l’enjeu.

Le gouvernement espère que ces mobilisations sectorielles restent isolées et qu’il pourra les défaire les unes après les autres en tenant bon, en les laissant s’épuiser ou en les réprimant. Affichant sa détermination, il espère ainsi nous décourager. Il se trompe, comme le montre la multiplication des collectifs citoyens en lien avec les salarié.es, les retraité.es et les étudiant.es ainsi que le succès de la solidarité aux grévistes, notamment à ceux de la SNCF.

Il s’agit maintenant d’aller plus loin et, toutes et tous ensemble, d’affirmer dans la rue que des alternatives existent, que nous ne nous résignons pas au sort que nous promet ce gouvernement. Il fait la sourde oreille, il faut le forcer à nous entendre et à retirer ses projets.

Dans le respect de nos champs d’interventions respectifs, nous voulons aller au-delà de toutes les mobilisations positives qui existent déjà et rassembler toutes les forces sociales, syndicales, associatives, politiques pour construire et réussir ensemble un grand rendez-vous citoyen. Partout en France organisons le samedi 26 mai une marée populaire pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité.

Rendez-vous Samedi 26 Mai 2018 à 10H Place de la Gare à Grenoble

Voir les commentaires

Défendre le Service Public, manifestation 22 mai 2018 Grenoble Gare 10H

15 Mai 2018, 10:52am

Publié par Barrionuevo

Les organisations syndicales CFDT - CFE/CGC – CFTC – CGT – FAFP – FO – FSU – UNSA - SOLIDAIRES sont attachées à une Fonction publique rendant des services de qualité à toutes et tous les usager-es sur l’ensemble du territoire, aux valeurs et principes d’égalité, de solidarité et de justice sociale, à la nécessité aussi de conforter les agent-es dans leurs rôles et dans leurs missions. Elles appellent les agent-es à une nouvelle journée de grève et de manifestations dans l’ensemble de la Fonction publique le 22 mai prochain.

Elles exigent un dialogue social respectueux des représentants des personnels et appellent les agents à dire leur rejet du projet de suppression de 120 000 emplois et le recours accru au contrat qui dégraderont les conditions de travail des agent-es, considérant que le développement de la contractualisation constitue une attaque contre le statut de même que la possible rémunération «au mérite» assise sur des critères antinomiques de ceux du service public. Elles rappellent leur opposition à la remise en cause des CAP et à la disparition des CHSCT, comme à toutes mobilités forcées vers le secteur privé.

Dans le cadre du rendez-vous salarial du mois de juin, les organisations appellent les agents à exiger que le gouvernement propose des mesures qui permettent une réelle amélioration du pouvoir d'achat pour toutes et tous: fin du gel de la valeur du point d'indice et sa revalorisation, rattrapage des pertes subies, abrogation de la journée de carence, compensation pérenne de la hausse de la CSG, respect des engagements en matière d'évolution de carrière, amélioration des déroulements de carrière.

Les organisations sont attachées à une Fonction publique rendant des services de qualité à toutes et tous les usager-es sur l'ensemble du territoire, aux valeurs et principes d'égalité, de solidarité et de justice sociale, à la nécessité aussi de conforter les agent-es dans leurs rôles et dans leurs missions. Fortes de ces valeurs, elles appellent le Gouvernement à être extrêmement vigilant sur les suites à donner au futur rapport du Comité Action Publique 2022.

 

Manifestations le 22 mai 2018 :

- Grenoble - 10H Place de la Gare

- Vienne – 14h sous-préfecture

- Bourgoin-Jallieu – 10h30 place St Michel

 

 

Toutes les organisations syndicales représentatives de la Fonction publique et des services publics appellent à des manifestations pour rejeter le projet d’un démantèlement inédit de la Fonction Publique.
Les retraités à qui on vient de réduire un pouvoir d’achat déjà bien contraint, avec la hausse de la CSG, ont besoin de services publics de qualité, accessibles à tous.

Le risque d’une dégradation rapide des services publics

Le pouvoir maintient son plan de suppression de 120 000 postes. Chacune et chacun d’entre nous sait quelles en seront les conséquences :une dégradation des conditions d’accueil et de traitement des difficultés dans les domaines de l’administration, des structures sanitaires, hôpitaux, EHPAD, urgences, de la Poste, du logement, des transports avec la désorganisation et à terme la privatisation de la SNCF et l'abandon des petites lignes, les exigences de rentabilité dans tous les secteurs publics au détriment des usagers. Et les retraités sont des usagers particulièrement attachés aux services publics, notre bien commun, et à la qualité de leurs missions.

Les retraités concernés au premier chef
La méthode est toujours la même : réduire les effectifs, dénigrer les fonctionnaires, limiter au minimum les investissements, désorganiser les services, susciter le mécontentement des usagers et préparer ainsi le terrain à l’arrivée de services privés payants et de plus en plus coûteux. Au détriment de celles et ceux qui n’auront pas suffisamment les moyens de se soigner, de se déplacer, de s’éduquer et pour les retraités de vivre une retraite paisible comme ils et elles le méritent.

Oui les retraités se sentent concernés par les actions de défense des services publics.
Ils seront présents dans les manifestations du 22 mai et ils seront nombreux. Car notre modèle social nous y tenons et nous voulons même l’améliorer, en convergence avec tous les personnels qui le font vivre.

Voir les commentaires

Manifestation Mardi 1er Mai 2018 à 10H, Gare SNCF Grenoble

24 Avril 2018, 09:07am

Publié par Barrionuevo

Ensemble, faisons du 1er mai une journée de lutte et de mobilisation pour le progrès social, la démocratie, la solidarité et la paix entre les peuples
Appel intersyndical CGT, FSU, Solidaires étudiants et salariés, UNEF et UNL
Le 1er mai est la journée internationale des travailleurs. Depuis 1890, les travailleurs et travailleuses du monde entier manifestent pour exiger de nouvelles conquêtes sociales, pour une société plus juste et solidaire.
Dans la société française, l’intérêt général, notre bien commun, s’est construit au fil de notre histoire au sein de 3 socles essentiels :

  •  Le code du travail
  •  La protection sociale (Sécu, retraite, famille, perte d’emploi…)
  •  Le service public

Aujourd’hui, ces 3 secteurs sont attaqués de front. Il n’échappe à personne que notre gouvernement a comme projet de transformer notre société en confiant la garantie de notre bien commun au marché et àses représentants.
Parce qu’il nous faut reprendre le chemin du progrès social et reconquérir des droits pour les salarié-es

  • Oui à l’emploi
  • Oui aux augmentations de salaire
  • Pour des services publics de haut niveau
  • Pour des moyens qui permettent d’étudier et de se former
  • Pour une protection sociale forte
  • Pour une industrie qui réponde aux besoins
  • Pour une reconquête du droit du travail
  • Pour l’égalité entre les femmes et les hommes
  • Pour les libertés syndicales et le droit de s’organiser
  • Pour l'abrogation des lois sécuritaires qui mettent la France dans un état d'urgence permanent.
  • Pour un accueil digne de tous les migrants et le respect de leurs droits humains

Les régressions qui découlent de la loi dite travail, imposent une puissante réaction pour que « la loi travail n’entre pas dans ma boite ».
Nous appelons à faire du 1er mai, journée internationale des travailleurs, une journée de mobilisation forte contre la haine, pour la solidarité entre les travailleurs.


1er MAI 2018 EN MANIF !
10h gare Sncf/Alsace-Lorraine à GRENOBLE
10h place Saint-Michel à BOURGOIN-JALLIEU
10h place de la République à ROUSSILLON

Voir les commentaires

Jeudi 19 avril 10H, nouvelle Manifestation départ Alsace-Lorraine à Grenoble

5 Avril 2018, 15:35pm

Publié par Barrionuevo

Journée

interprofessionnelle

de grève et de

manifestations

Jeudi 19 avril, départ 10h

rue Alsace Lorraine

L’intersyndicale Iséroise réunie le 3 avril 2018 a décidé de l’organisation d’une manifestation au départ de la rue Alsace Lorraine à 10h à l’appel des organisations syndicales CGT, Solidaire et FSU. L’arrivée se fera face à la préfecture, place de Verdun

 

Il est proposé aux cheminots de prendre la tête de la manifestation,

 

s’ensuivra l’ordre de manifestation habituel.

La réussite de la journée unitaire de mobilisation dans différents secteurs professionnels le 22 mars 2018 (Fonction Publique, Cheminots, Énergie, Transport, etc.) s’est traduite par plus de 180 rassemblements et manifestations partout en France, regroupant plus de 500 000 manifestants dans les rues.
Tous et toutes ont marqué, aussi par la grève, leur attachement aux services

publics.
Contrairement aux choix gouvernementaux de régression sociale, ils ont exigé le développement des services publics et les moyens nécessaires à l’exercice de leurs missions, le renforcement de leurs statuts et conventions collectives.
Le gouvernement poursuit sa politique de régression sociale. Il continue notamment à supprimer des milliers de postes dans la fonction publique, à privatiser les entreprises publiques, à mépriser les salariés et les retraités par l’abaissement généralisé de leurs salaires et de leurs pensions. En même temps, il multiplie les milliards d’euros de cadeaux aux actionnaires et montre ainsi son véritable visage en étant au seul service du capital et des plus riches.
Sourd aux propositions du monde du travail, le gouvernement fait le choix de la confrontation sociale !
Le gouvernement doit entendre l’exigence sociale, il doit prendre la mesure des oppositions à sa politique et prendre en compte les alternatives portées par les organisations syndicales.

Les travailleurs, les privés d’emploi, les retraités et les jeunes sont invités à prendre leur avenir en main, à construire leurs revendications et à agir dans l’unité syndicale la plus large pour imposer le progrès social.
Cette journée nationale de mobilisation interprofessionnelle du 19 avril sera l’occasion de porter les revendications sur le pouvoir d’achat (salaires, pensions, minima sociaux), l’emploi et la protection sociale, les services publics et les droits collectifs.

Voir les commentaires

Contre privatisation: 8 avril 2018, chaine humaine au barrage du Sautet

25 Mars 2018, 18:35pm

Publié par Barrionuevo

Pour une hydroélectricité

 

publique !

 

La mise en concurrence des concessions des installations et barrages hydrauliques :

un nouveau coup de force du gouvernement Macron.

Le gouvernement en marche forcée vers la privatisation des concessions hydrauliques.

La loi de transition énergétique d’août 2015 a confirmé le principe de la mise en concurrence des concessions hydrauliques exigée par l’UE. Jusqu’à maintenant, cette disposition qui est la négation du service public français de la production hydroélectrique et soulève des oppositions de tous côtés n’a pas été appliquée. Le gouvernement Macron veut la mettre rapidement en place. Contrairement à ce qu'il affirme, cela n'a rien d'obligatoire, ni d'urgent. La Commission européenne n'a fixé aucun calendrier. Il n'y a donc aucune obligation à devancer des exigences que certains pays européens, tels l'Allemagne, l'Autriche et le Portugal, ont refusé d'appliquer.

Rappelons quelques faits

La France est le deuxième pays d'Europe, après la Norvège par le nombre de barrages qu'elle possède et par le volume de sa production d'électricité d'origine hydraulique. L’hydraulique constitue la seule source d'énergie renouvelable, pilotable à tout instant et non intermittente. En outre, les installations hydrauliques réversibles, dites STEP (Station de transfert d’énergie par pompage), représentent actuellement l'unique outil de stockage de l'électricité produite par l'éolien et le solaire qui constituent des sources intermittentes d’énergie et donc non pilotables.

On mesure donc l'importance stratégique du réseau hydraulique français pour la réussite de la transition énergétique et de la lutte contre le dérèglement climatique.

Outre la production électrique, ce réseau d’ouvrages hydrauliques joue un rôle primordial dans l'approvisionnement en eau, l'irrigation, la régulation des cours d'eau voire le tourisme (aménagements de plans d’eau).

La loi de 1919, toujours en vigueur, stipule qu'en France, l'eau appartient à l'État : « Nul ne peut disposer de l'énergie des marées, des lacs et des cours d'eau, quel que soit leur classement, sans une concession ou une autorisation de l'État ».

Les installations de moins de 4,5 mégawatts (équivalente à 4 500 petits radiateurs) sont sous le régime de l'autorisation. Tous les grands barrages sont sous le régime de la concession : l’État concède l’usage des installations et les concessionnaires encaissent les revenus.

En 1946, la nationalisation du secteur hydraulique a permis à la France d'assurer un accès de tous les citoyens à l'électricité quel que soit leur lieu de résidence par la mise en œuvre d'une politique planifiée d'aménagement du territoire. Elle a permis également la mise en œuvre du développement de ce secteur économique et de satisfaire les besoins croissants en énergie par l'équipement d'un grand nombre de sites hydrauliques. Cette politique garantit en outre une tarification identique pour toutes et tous, à travers la « péréquation » et les « tarifs réglementés », quelle que soit la distance par rapport au lieu de production.

Le statut des agents EDF, créé à cette date, est l’un de ceux qui a apporté d'importantes avancées sociales dont bien d’autres professions ont bénéficié par la suite.

Au fil du temps, les forces libérales à l'œuvre au niveau européen et avec l'aide active des gouvernements français, n'eurent de cesse de remettre en cause les acquis de la Libération et le service public : fin du monopole d'EDF (2000), éclatement d'EDF en de nombreuses sociétés, transformation du groupe en société anonyme (2004), multiplication des externalisations de services confiés à des entreprises privées, abandon de la clause de préférence en faveur d'EDF lors du renouvellement des concessions (loi Borloo 2006 et décret 2008).

Et la Commission européenne prétend interdire à EDF de postuler pour l’obtention de ces concessions !

Le coup de force actuel apparaît donc comme l’acte ultime du démantèlement programmé de ce service public !

Si l'ouverture à la concurrence des concessions prenait effet, ce serait un secteur clé de notre économie qui échapperait à la souveraineté de notre pays.

L’attribution des concessions aux candidats ne se ferait pas selon des critères de cohérence de la production et des besoins en eau, c'est à dire par vallée, mais en fonction d'un prétendu équilibre financier entre les concessionnaires privés qui sont à l’affût depuis quelques années. Car la « rente hydroélectrique » est d’au moins 1,25 milliard d’euros par an et l’électricité produite par les barrages est de loin la moins coûteuse : de 20 à 30 euros le mégawatt-heure. C’est ainsi que le barrage du Monteynard pourrait être séparé des autres ouvrages de la vallée du Drac !

Les échanges d’électricité avec nos voisins (exportations, importations) sont possibles par l'interconnexion des réseaux à l'échelle européenne. Ils sont régis essentiellement par les impératifs du marché de l’électricité, sur lequel le prix du kilowatt-heure peut fluctuer dans des proportions considérables d’une heure à l’autre, selon les besoins de consommation. Si les concessions hydrauliques tombaient dans les mains du privé, la souplesse exceptionnelle de la ressource serait mise au service de la maximisation du profit sur le marché ouest-européen de l’énergie. La sécurité de l'approvisionnement s'en trouverait fortement compromise. Et tout le système de régulation des prix serait abandonné : les tarifs exploseraient.

Il est donc urgent d'agir pour bloquer ce dispositif de spoliation d'un bien public !

Dans le département de l’Isère, en réaction au bradage de ce bien public, un collectif de défense s’est constitué en 2011.

Il a lancé une pétition (*), plus que jamais d’actualité. À ce jour, cette pétition a reçu plus de 5 000 signatures.

Faites la signer massivement.

Ce collectif de défense des barrages (collectifdefensebarrages@laposte.net) s'associe pleinement à l'initiative du

Dimanche 8 avril 2018

où une chaîne humaine se formera au barrage du Sautet (Isère) pour s’opposer au bradage du patrimoine hydraulique de notre pays.

 

Rendez-vous sur le barrage à 12h30

ou à 10h15, place de la gare de Grenoble pour un départ en covoiturage.

13h30 : pique-nique militant sur les bords du lac
15h30-17h : conférence débat, salle associative de "La Salle en Beaumont
 

(*) https://www.petitions24.net/contre_louverture_a_la_concurrence_des_ouvrages_hydroelectriques

 

Ci-dessous la vidéo du PCF annonçant l'initiative du 8 avril 2018

Voir les commentaires

29 mars 2018 20H, R. Rolland Fontaine: Capitalisme, guerres, migrations

22 Mars 2018, 18:09pm

Publié par Barrionuevo

Jeudi 29 mars 2018 à 20H, Conférence-débat "Capitalisme, guerres et migrations" organisée par la Section PCF Fontaine rive gauche du Drac, Salle Romain Rolland à Fontaine, avec la participation de Jacques Fath

" Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage "

Jean Jaurès

 QUELLES GUERRES ?

• Palestine. 2008, 2012, 2014 : interventions armées d'Israël dans la bande de Gaza, plusieurs milliers de victimes civiles, dont de nombreux enfants.

• Syrie. Depuis 2011 guerre civile et intervention militaire de la Russie, des USA, de la France... Entre 100 et 200 000 victimes civiles.

• Irak. 2003/2011 : intervention armée américano-britannique. Entre 500 000 et un million de victimes. Pays aujourd'hui en proie au chaos.

• Afghanistan. 2001/2014 : intervention armée de l'OTAN. Plus de 20 000 victimes civiles. Le pays est toujours en proie aux attentats talibans.

...

QUELLES CONSÉQUENCES ?

• Les conflits ont contraint 65,6​ millions de personnes à fuir (Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés). Sur 22,5 millions de réfugiés, 5 millions viennent de Syrie, 2,5 millions d'Irak, plusieurs millions d' Afghanistan....

• 86% des réfugiés sont accueillis par des pays en voie de développement (Amnesty International).

• France : 270 réfugiés pour un million d'habitants (Eurostat).

QUI VEND LES ARMES ?

Livraisons en milliards de dollars/an. 1. USA : 26,9. 2. Russie : 7,2 milliards. 3. France : 5,2. Allemagne : 4,3. Royaume Uni : 4. Israël : 2,1. Canada : 1,9.

QUELLES SOLUTIONS ?

• Le PCF demande que la France signe et ratifie le traité d'interdiction des armes nucléaires adopté en 2017 par 122 États. Qu'elle mette fin aux ventes d’armes aux pays belligérants ou participant à une montée des tensions. Qu'elle quitte l'OTAN alliance guidée par une logique guerrière et expansionniste. Qu'elle reconnaisse l'État palestinien...

 

Voir les commentaires

Fonction publique: Manifestation importante le 22 mars 2018 à Grenoble

22 Mars 2018, 15:33pm

Publié par Barrionuevo

Il y a longtemps que nous n'avions pas vu une manifestation d'une telle ampleur dans les rues de Grenoble.

Plus de 10 000 personnes de la jeunesse aux retraité-e-s s'étaient donnés rendez-vous à la gare et sur l'Avenue Alsace-Lorraine pour partir en cortège jusqu'à la Place de Verdun (trop petite pour contenir la totalité des femmes et des hommes présents pour la défense du Service public).

Les 60 cheminots qui avaient réservé leurs places en TGV pour se rendre à la manifestation parisienne, ont été privés de train par la direction, en même temps que les autres usagers du rail.

En tant qu'élu communiste de Sassenage, je veux saluer la lutte des personnels du Lycée professionnel Roger Deschaux contre la suppression de 6,5 emplois de secrétaires.

La participation de nombreux élu-e-s, dont Guillaume Gontard, Sénateur de l'Isère.

Comme l'écrivait la fédération de l'Isère du Parti communiste français dans son communiqué de soutien à cette journée de mobilisation, il faut mettre un coup d'arrêt aux politiques dévastatrices du gouvernement Macron/Philippe.
Ce sont des décennies de conquêtes sociales, de progrès humains qui sont menacées d'être balayées par le rouleau compresseur ultra-libéral en place depuis le printemps 2017. Le contenu réel de ces réformes éclate au grand jour : c'est une politique tout entière au service des puissances de l'argent.
Mais les luttes actuelles portent un avenir de progrès pour notre pays. Le PCF appelle les forces de gauche opposées à la politique de Macron à mettre en débat leurs propositions alternatives à la politique de Macron et à agir en complémentarité avec les forces syndicales, associatives et les citoyen.ne.s mobilisé.e.s pour le développement des luttes sociales.

De grandes victoires sont possibles !

Voir la vidéo ci-dessous :
 

Voir les commentaires

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 > >>